Il y a encore des personnes qui croient en un Monde Meilleur.
Depuis le début de l’histoire de l’humanité, de nombreux hommes sont apparus et ont fait des propositions pour l’amélioration de la société, afin que le monde puisse être amélioré, dans la tentative d’apporter le bonheur à tous. Nous avons observé cela.
Mais rendus à l’évidence qu’il existe une grande différence entre les êtres humains, et que si nous continuions à essayer de nous positionner dans une vérité qui ne satisferait qu’un groupe, une parcelle, il nous faudrait parcourir, pendant des milliers et des milliers d’années, tous les domaines de la connaissance, un par un, pour ensuite apporter le bonheur.
(…) Nous savons que nous vivons dans un monde de différences. Rien n’est pareil ; tout est différent. Donc, travailler avec des variables relatives, pour atteindre le bonheur, prendrait au minimum beaucoup et beaucoup de temps ! Nous avons donc décidé de travailler avec l’Absolu, avec ce facteur qui existe en chacun, qui est commun à tous les différents.
(…) Ainsi, ayant également observé que, depuis longtemps dans l’humanité, l’homme se base sur la prémisse que « l’homme est produit du milieu » de l’environnement, et ayant encore observé que l’homme, encapsulé tel qu’il l’est, s’unit, forme une famille et les familles, des sociétés, nous en avons conclu que, s’il prétend changer le milieu pour apporter le bonheur, il n’altèrera pas la structure intime. Il n’obtiendra des changements dans le milieu, que si un homme meilleur apparaît – un homme désencapsulé, libre, heureux. Et c’est l’homme heureux qui rend le milieu heureux, parce que le milieu est produit de l’homme.
Donc, si vous aussi prétendez un Monde Meilleur, sachez que le travail est un travail de chacun en soi-même. Sentez ce que vous savez déjà. Utilisez la Patience : elle sédimente. Méditez sur les points de la Connaissance. Regardez à l’intérieur de vous-même. La Sagesse, c’est se connaître soi-même. Si vous reconnaissez vos limites, si vous reconnaissez vos points vulnérables, alors vous savez déjà quelle est votre position. Ne pensez pas qu’au stade de l’homme ‘commun’, l’homme pourra construire un Monde Meilleur. Il ne le peut pas ! Pensant de la façon dont il pense… ?! Le maximum que l’homme a réussi à faire, avec ses idées, c’était ce monde. Il en faut nécessairement beaucoup plus !
Par conséquent, si vous voulez quelque chose de mieux, vous devrez commencer par vous reconnaître, observant vos points vulnérables, ce qui vous détient, qui vous êtes, ce que vous avez fait, quel est le milieu que vous fréquentez, comment est le milieu que vous fréquentez , qui sont les éléments de ce milieu, comment sont les éléments du milieu que vous fréquentez, avec qui vous parlez, combien de temps vous dépensez à parler, s’il y a eu un profit pendant ce temps, s’ il n’y a pas eu de profit… Avez-vous donné quelque chose ou avez-vous simplement retiré quelque chose ? En fait, que faites-vous vraiment dans le monde ?
Si vous arrivez à la conclusion que c’est très peu, c’est pour cela même que le monde « est très peu ». Et si vous vous dites que vous savez déjà tout, demandez-vous si vous êtes tout ce que vous savez. Après tout, chacun actionne ce qu’il pense.
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Le 5 Octobre 1981
Le 5 Octobre 1981
Il y a encore des personnes qui croient en un Monde Meilleur.
Depuis le début de l’histoire de l’humanité, de nombreux hommes sont apparus et ont fait des propositions pour l’amélioration de la société, afin que le monde puisse être amélioré, dans la tentative d’apporter le bonheur à tous. Nous avons observé cela.
Mais rendus à l’évidence qu’il existe une grande différence entre les êtres humains, et que si nous continuions à essayer de nous positionner dans une vérité qui ne satisferait qu’un groupe, une parcelle, il nous faudrait parcourir, pendant des milliers et des milliers d’années, tous les domaines de la connaissance, un par un, pour ensuite apporter le bonheur.
(…) Nous savons que nous vivons dans un monde de différences. Rien n’est pareil ; tout est différent. Donc, travailler avec des variables relatives, pour atteindre le bonheur, prendrait au minimum beaucoup et beaucoup de temps ! Nous avons donc décidé de travailler avec l’Absolu, avec ce facteur qui existe en chacun, qui est commun à tous les différents.
(…) Ainsi, ayant également observé que, depuis longtemps dans l’humanité, l’homme se base sur la prémisse que « l’homme est produit du milieu » de l’environnement, et ayant encore observé que l’homme, encapsulé tel qu’il l’est, s’unit, forme une famille et les familles, des sociétés, nous en avons conclu que, s’il prétend changer le milieu pour apporter le bonheur, il n’altèrera pas la structure intime. Il n’obtiendra des changements dans le milieu, que si un homme meilleur apparaît – un homme désencapsulé, libre, heureux. Et c’est l’homme heureux qui rend le milieu heureux, parce que le milieu est produit de l’homme.
Donc, si vous aussi prétendez un Monde Meilleur, sachez que le travail est un travail de chacun en soi-même. Sentez ce que vous savez déjà. Utilisez la Patience : elle sédimente. Méditez sur les points de la Connaissance. Regardez à l’intérieur de vous-même. La Sagesse, c’est se connaître soi-même. Si vous reconnaissez vos limites, si vous reconnaissez vos points vulnérables, alors vous savez déjà quelle est votre position. Ne pensez pas qu’au stade de l’homme ‘commun’, l’homme pourra construire un Monde Meilleur. Il ne le peut pas ! Pensant de la façon dont il pense… ?! Le maximum que l’homme a réussi à faire, avec ses idées, c’était ce monde. Il en faut nécessairement beaucoup plus !
Par conséquent, si vous voulez quelque chose de mieux, vous devrez commencer par vous reconnaître, observant vos points vulnérables, ce qui vous détient, qui vous êtes, ce que vous avez fait, quel est le milieu que vous fréquentez, comment est le milieu que vous fréquentez , qui sont les éléments de ce milieu, comment sont les éléments du milieu que vous fréquentez, avec qui vous parlez, combien de temps vous dépensez à parler, s’il y a eu un profit pendant ce temps, s’ il n’y a pas eu de profit… Avez-vous donné quelque chose ou avez-vous simplement retiré quelque chose ? En fait, que faites-vous vraiment dans le monde ?
Si vous arrivez à la conclusion que c’est très peu, c’est pour cela même que le monde « est très peu ». Et si vous vous dites que vous savez déjà tout, demandez-vous si vous êtes tout ce que vous savez. Après tout, chacun actionne ce qu’il pense.
Dr. Celso Charuri
Idéalisateur et Fondateur de PRÓ-VIDA
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