Une fois de plus, nous est prouvé ce qui est écrit dans le texte du Grand Homme : ce qu’il a ne nous importe pas ; ce qui importe, c’est ce qu’il est.

La sensation de liberté et de sécurité ainsi conférée est tellement grande ! Comme j’aimerais que vous tous puissiez sentir cela : la grandiosité de la connaissance quand intégrée à vous, mais pleinement intégrée, lorsque, simplement, vous êtes.

(…) Vous voulez un ciel en vous ? Vous voulez un paradis en vous ? Vous voulez un état de plénitude du bonheur en vous ?  Dépouillez-vous.  Défaites–vous de tout.  Retirez tout ce qui est en vous.  Faites le vide afin que quelque chose qui vous mènera à l’état heureux pénètre. Et lorsque vous serez déjà assez dépouillé et n’aurez pas encore trouvé la plénitude, la plénitude du bonheur, soyez-en sûr : c’est que vous avez oublié de regarder dans cette poche…oublié ou fui… ?! Là, il doit y avoir un grain de poussière, là, il doit y avoir quelque chose qui pèse. Ceci retiré et également éliminé, vous pourrez obtenir la plénitude totale.

(…) Chacun de nous doit profiter de chaque opportunité, de chaque expérience, pour reconnaître ce qui occupe de l’espace, qui, une fois désoccupé permettra l’ascension. L’ascension !

Il faut être léger pour s’élever !