La connaissance à laquelle vous avez accès, et que vous pouvez recevoir maintenant, est un aliment de plus, une satisfaction. C’est un prix de plus, c’est un lénitif de plus pour supporter les jours à venir, les temps à venir, les crises qui viendront . Donc, la connaissance qui vient, vient dans le sens même de mieux comprendre tout ce qui devrait se passer avec la population, avec les peuples en général, et dans le sens aussi de récompenser, parce que ça fait du bien, c’est bon.. c’est la preuve que, pendant que certains se massacrent pour ce qui devra venir, d’autres ici devront se sentir bien.

Combien il est bon de savoir, combien il est bon d’avoir tout cela, d’utiliser, de démontrer, de servir d’exemple. Alors que certains là dehors goûtent l’amertume, vous ici recevez du nectar pour soulager la leur et apaiser celle que vous pourriez sentir.

C’est une bonne chose car cela permet à la connaissance  de se présenter plus douce, plus savoureuse, comme si vous saviez déjà, de cette façon, la fin du chemin. Et maintenant vous êtes ici, vous devez marcher et alors vous marchez en recevant des choses bien meilleures, bien plus saines que ce que vous pouvez recevoir au dehors. C’ est ainsi que vous pouvez considérer la connaissance qui devra venir.

Tant de cours, tant de conversations que nous avons eues sur la souffrance. Pourquoi ne pas vivre en paix et ne goûter qu’à la douceur de la Connaissance, de la Sagesse, du Plan tout conçu ?

Je suis également heureux parce que la plupart d’entre vous travaillent, coopèrent ; je pense qu’il ne manque personne ici. Tout le monde ici coopère vraiment avec toute la PRÓ-VIDA , chacun fait sa part,  fait un peu, et alors cela satisfait ! Mais cela doit satisfaire tout le monde. Un travail que les personnes ne font plus… forcées, ou pour apparaitre . C’est parce que c’est  agréable, n’est-ce pas ? « Je fais ma part » ; chacun fait sa part. Et pour nous, c’est cela ici. Cela veut dire qu’il n’existe déjà pas d’autre intention. Peut-être que nous donnons le bon exemple en le faisant pour les autres ; sans vouloir, sans forcer, parce c’est bon de le faire, parce qu’il est bon de lutter pour notre monde, pour notre société, alors que là dehors ils… se détruisent, alors que là dehors ils sont…

J’espère… J’espère même transmettre avec ce que j’ai dit un calme, un état de calme en chacun, car maintenant notre travail devient un travail sans prétention, agréable, harmonieux entre nous ! Et, sans impulsions violentes, à peine avec un pas équilibré, bien mesuré, dans une direction dont nous savons déjà ce qu’elle est. Nous n’avons pas de muraille devant nous, nous marchons tranquilement, sereinement – c’est le terme que j’aime utiliser – en appréciant la bonne route, le bon asphalte que nous avons pu choisir. Marcher en douceur, assistant  un spectacle déjà reconnu comme nécessaire.

Triste, parce que tout le monde n’est pas là ; content parce que la Loi s’ accomplit ; principalement en Paix.

Je veux, ou j’aimerais pouvoir vous transmettre cela, parce qu’au moment où vous capterez cet état de Paix, vous ferez de l’espace pour que pénètre  la compréhension de la connaissance que vous avez déjà et de celle qui viendra. Mais sans cet état de Paix, de sérénité, il n’y a pas d’espace pour la compréhension de la Connaissance. L’anxiété est le dernier voile.