Dr. Celso, en parlant à respect du Sentir, simule la méditation d’une personne:

« Qu’est-ce que je cherche…?

Vous savez, mon Dieu, je regarde vers le ciel, je vois vos étoiles, je vois toute cette immensité, je vois cet infini…. et je m’aperçois que je ne suis pas en condition de savoir ce que je cherche. Mais au même temps que je ne suis pas en condition de savoir ce que je cherche, apparaît en moi une chose très importante : cela s’appelle le Sentir. Et je sens, je sens que de cette quête – je ne sais de quoi- mais je sens que c’est quelque chose de grandiose que je vais trouver. Je sens en regardant vos étoiles, en regardant votre soleil, en regardant vos fleurs, en regardant… je sens que c’est quelque chose de grandiose!

Je ne sais pas ce que c’est. Et je doute que sur la face de la Terre quelqu’un sache ce que c’est, utilisant le peu qu’il a. Mais je sens que ce qui m’attend est grandiose. Aussi grandiose que votre soleil, aussi resplendissant que vos étoiles. Et parfois parcourant vos voies, Lactée et autres, moi, je me réjouis soudain, parce qu’il me semble que j’ai trouvé ce que je cherchais – et je ne sais pas ce que c’est ! Je sens seulement que c’est grandiose.

De toute façon, Seigneur, merci beaucoup pour, malgré le fait de m’avoir donné une petite capacité de savoir, merci pour m’avoir donné la capacité de Sentir. »

Dr. Celso conclut :

A partir de cet instant, les personnes commencent, alors, à cultiver le Sentir.