Il y a peu, je disais que quelques personnes – j’aimerais que vous méditiez sur ce sujet –, pendant leur enfance, découvrent que, pour ne pas souffrir, elles vont devoir acquérir un pouvoir. Alors, au fond tout être humain veut le pouvoir, le pouvoir pour pouvoir Avoir.
Mais au-delà de tout cela, il semble que le pouvoir confère à l’individu une certaine sécurité, peut-être une auto -défense. L’individu, quand il se sent puissant, se sent entouré, et il semble que cela lui confère une sécurité. Il procure la défense dans le sens de s’assurer la propre vie et l’individualité qu’il reconnaît en lui : il veut le pouvoir.
Et alors, certains optent pour le pouvoir culturel, parce qu’ainsi ils se sentiront protégés, non pas par la culture en soi, mais par ce que la culture confère aux personnes. La culture confère du prestige aux personnes ? Alors, il va à la recherche de la culture, de ce qui lui confère le pouvoir qui advient du fait qu’il ait de la culture.
Mais il s’aperçoit aussi de quelque chose de très important : que le pouvoir obtenu, dans ce cas, par la culture, ne commence à se manifester que lorsqu’il commence à distribuer ce qu’il a obtenu -la culture ; parce que, sinon, il a de la culture et se sent seul. Il sent qu’il a le pouvoir, mais le pouvoir ne se manifeste pas encore. Ce pouvoir commence seulement à se manifester au moment où lui commence à distribuer de la culture. Là, il se voit entouré de personnes, gagne du prestige. Alors il voit qu’il existe. Grâce à ce pouvoir, il dit : « Je suis quelqu’un », parce que les autres le reconnaissent comme quelqu’un d’utile et nécessaire. Et donc, il acquiert ce pouvoir et dit : « Je suis un homme auto-réalisé ! »
D’autres recherchent le pouvoir par l’argent ; l’individu pense que seule la culture n’est pas suffisante. Alors il sort à la recherche de l’argent. À un moment donné, il se voit plein d’argent mais ne sent pas le pouvoir ; au contraire, il est même rejeté, considéré comme quelqu’un d’avare. Il se préoccupe.
Un jour survient l’expérience du Donner. Ça donne du pouvoir. Il commence : il aide une famille, un voisin, un ami, et lui, avec tout son argent découvre alors que c’est en vidant le pot, que c’est en donnant qu’il commence à sentir le pouvoir réel. Soit, il commence à se sentir entouré de personnes. Dans son for intérieur, il sait même qu’elles sont prêtes à le suivre. En distribuant, il est en train, d’une certaine manière de payer pour Être, pour exister, pour que les autres le reconnaissent comme existant. Et là, il dit : « Je suis auto-réalisé, j’ai tellement de personnes , de témoins qui me suivent, qui se conseillent avec moi ! »
Certains par la culture, d’autres par la culture et l’argent. Souvent pour obtenir cela, ils passent une vie entière à poursuivre le pouvoir. Ils travaillent, travaillent, travaillent pour l’argent, et ensuite en distribuant, ils auront ce pouvoir. Soit étudiant, soit travaillant, ils passent 30, 40 ans de vie à réussir à obtenir ce pouvoir, pour ensuite, s’asseoir sur le trône du pouvoir et se sentir réalisés, admirés par les autres, aimés par les autres, exerçant une attraction ne serait-ce qu’externe.
Nous ici, à PRÓ-VIDA, nous avons quelque chose de différent. Qui est avec nous depuis trois ans, lorsqu’il s’arrête et se positionne, perçoit tout de suite cela. Les plus anciens. En à peine trois ans, ils ont réussi à être admirés par les hommes, pas seulement ici, mais où qu’ils soient. C’est même un problème : quand ils parlent, ils créent un état énivrant ! Qui n’aime pas les écouter ?!
Il y a une assurance qui se dégage d’eux parce que ce n’est pas l’argent, les beaux vêtements, les bijoux exhibés qui créent ce pouvoir. Ce ne sont pas les valeurs externes, et si, les valeurs internes. En trois ans ! Avec un grand avantage : ils n’ont pas eu à passer par le processus des expériences, celles qui discréditent l’homme. Et eux, sans avoir à tricher, sans avoir à passer par cela, ayant une vie propre, pleinement propre, sont en train d’obtenir tout ce que l’homme peut désirer. Le Pouvoir !
Que peut désirer de plus, l’homme sur la face de la Terre, que d’être admiré par ses semblables, servant de point de motivation et, même sans avoir d’argent, avoir tout ce que la matière confère ?
Est-ce que c’est vraiment ça ? Bien sûr que si ! je peux citer l’un d’eux. Il n’a pas de maison à la plage, mais il reçoit plus d’une invitation par jour pour passer quelques jours dans les maisons de ceux qui l’écoutent. Il n’a pas de résidence à la campagne et pourtant chaque jour il reçoit une invitation pour y séjourner. Il n’a pas de voiture de luxe, mais beaucoup lui offrent leur Mercedes : « Prends ma voiture et fais un tour ! » Il n’a pas de bateau cependant il est toujours invité à naviguer. Que peut vouloir de plus un homme sur la face de la Terre ?! Aimé par tous. Avoir tout ce que la matière peut donner. Avoir confiance en soi – tout ça en trois ans à peine ! Et penser que, si vous le voulez, c’est possible avant trois ans. Tout est possible en un instant !
Je confie vraiment au destin de la PRÓ-VIDA institution, telle qu’elle est, parce que les fruits récoltés jusqu’à maintenant sont de première qualité et possèdent une saveur que seuls les arbres existants ici ou cet arbre peut donner en si peu de temps. Si vous saviez tous sentir, apprécier, percevoir cela, vous auriez déjà en vous la sensation de sécurité que l’on a quand on se trouve sur la voie correcte en direction au destin, à l’objectif que l’on poursuit.
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Le 20 Novembre 1981
Le 20 Novembre 1981
Il y a peu, je disais que quelques personnes – j’aimerais que vous méditiez sur ce sujet –, pendant leur enfance, découvrent que, pour ne pas souffrir, elles vont devoir acquérir un pouvoir. Alors, au fond tout être humain veut le pouvoir, le pouvoir pour pouvoir Avoir.
Mais au-delà de tout cela, il semble que le pouvoir confère à l’individu une certaine sécurité, peut-être une auto -défense. L’individu, quand il se sent puissant, se sent entouré, et il semble que cela lui confère une sécurité. Il procure la défense dans le sens de s’assurer la propre vie et l’individualité qu’il reconnaît en lui : il veut le pouvoir.
Et alors, certains optent pour le pouvoir culturel, parce qu’ainsi ils se sentiront protégés, non pas par la culture en soi, mais par ce que la culture confère aux personnes. La culture confère du prestige aux personnes ? Alors, il va à la recherche de la culture, de ce qui lui confère le pouvoir qui advient du fait qu’il ait de la culture.
Mais il s’aperçoit aussi de quelque chose de très important : que le pouvoir obtenu, dans ce cas, par la culture, ne commence à se manifester que lorsqu’il commence à distribuer ce qu’il a obtenu -la culture ; parce que, sinon, il a de la culture et se sent seul. Il sent qu’il a le pouvoir, mais le pouvoir ne se manifeste pas encore. Ce pouvoir commence seulement à se manifester au moment où lui commence à distribuer de la culture. Là, il se voit entouré de personnes, gagne du prestige. Alors il voit qu’il existe. Grâce à ce pouvoir, il dit : « Je suis quelqu’un », parce que les autres le reconnaissent comme quelqu’un d’utile et nécessaire. Et donc, il acquiert ce pouvoir et dit : « Je suis un homme auto-réalisé ! »
D’autres recherchent le pouvoir par l’argent ; l’individu pense que seule la culture n’est pas suffisante. Alors il sort à la recherche de l’argent. À un moment donné, il se voit plein d’argent mais ne sent pas le pouvoir ; au contraire, il est même rejeté, considéré comme quelqu’un d’avare. Il se préoccupe.
Un jour survient l’expérience du Donner. Ça donne du pouvoir. Il commence : il aide une famille, un voisin, un ami, et lui, avec tout son argent découvre alors que c’est en vidant le pot, que c’est en donnant qu’il commence à sentir le pouvoir réel. Soit, il commence à se sentir entouré de personnes. Dans son for intérieur, il sait même qu’elles sont prêtes à le suivre. En distribuant, il est en train, d’une certaine manière de payer pour Être, pour exister, pour que les autres le reconnaissent comme existant. Et là, il dit : « Je suis auto-réalisé, j’ai tellement de personnes , de témoins qui me suivent, qui se conseillent avec moi ! »
Certains par la culture, d’autres par la culture et l’argent. Souvent pour obtenir cela, ils passent une vie entière à poursuivre le pouvoir. Ils travaillent, travaillent, travaillent pour l’argent, et ensuite en distribuant, ils auront ce pouvoir. Soit étudiant, soit travaillant, ils passent 30, 40 ans de vie à réussir à obtenir ce pouvoir, pour ensuite, s’asseoir sur le trône du pouvoir et se sentir réalisés, admirés par les autres, aimés par les autres, exerçant une attraction ne serait-ce qu’externe.
Nous ici, à PRÓ-VIDA, nous avons quelque chose de différent. Qui est avec nous depuis trois ans, lorsqu’il s’arrête et se positionne, perçoit tout de suite cela. Les plus anciens. En à peine trois ans, ils ont réussi à être admirés par les hommes, pas seulement ici, mais où qu’ils soient. C’est même un problème : quand ils parlent, ils créent un état énivrant ! Qui n’aime pas les écouter ?!
Il y a une assurance qui se dégage d’eux parce que ce n’est pas l’argent, les beaux vêtements, les bijoux exhibés qui créent ce pouvoir. Ce ne sont pas les valeurs externes, et si, les valeurs internes. En trois ans ! Avec un grand avantage : ils n’ont pas eu à passer par le processus des expériences, celles qui discréditent l’homme. Et eux, sans avoir à tricher, sans avoir à passer par cela, ayant une vie propre, pleinement propre, sont en train d’obtenir tout ce que l’homme peut désirer. Le Pouvoir !
Que peut désirer de plus, l’homme sur la face de la Terre, que d’être admiré par ses semblables, servant de point de motivation et, même sans avoir d’argent, avoir tout ce que la matière confère ?
Est-ce que c’est vraiment ça ? Bien sûr que si ! je peux citer l’un d’eux. Il n’a pas de maison à la plage, mais il reçoit plus d’une invitation par jour pour passer quelques jours dans les maisons de ceux qui l’écoutent. Il n’a pas de résidence à la campagne et pourtant chaque jour il reçoit une invitation pour y séjourner. Il n’a pas de voiture de luxe, mais beaucoup lui offrent leur Mercedes : « Prends ma voiture et fais un tour ! » Il n’a pas de bateau cependant il est toujours invité à naviguer. Que peut vouloir de plus un homme sur la face de la Terre ?! Aimé par tous. Avoir tout ce que la matière peut donner. Avoir confiance en soi – tout ça en trois ans à peine ! Et penser que, si vous le voulez, c’est possible avant trois ans. Tout est possible en un instant !
Je confie vraiment au destin de la PRÓ-VIDA institution, telle qu’elle est, parce que les fruits récoltés jusqu’à maintenant sont de première qualité et possèdent une saveur que seuls les arbres existants ici ou cet arbre peut donner en si peu de temps. Si vous saviez tous sentir, apprécier, percevoir cela, vous auriez déjà en vous la sensation de sécurité que l’on a quand on se trouve sur la voie correcte en direction au destin, à l’objectif que l’on poursuit.
Dr. Celso Charuri
Idéalisateur et Fondateur de PRÓ-VIDA
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