Hier, j’ai conversé avec des personnes de dehors au sujet du mental, des personnes encore prisonnières du matérialisme, qui n’arrivent pas à dépasser des points tels que : » Moi, je ne fais pas ça, parce que personne ne va me donner des ordres, personne ne va me dominer… » Elles n’arrivent toujours pas à surmonter le conflit.
– « Personne ne va plus s’en prendre à moi, je ne vais être le pion, le jouet de personne, maintenant elle ne va plus m’utiliser, je me suis libéré de son emprise… »
Je disais à la personne :
– Je pense que vous ne vous êtes pas libéré. Qui se libère vraiment du joug de quelqu’un, d’une société, de n’importe quoi, n’est pas aussi préoccupé à tenter de le vaincre, ainsi que vous l’êtes, puisque vous devez encore passer des heures et des heures à réfléchir à la façon de réagir.
La personne a convenu, qu’en fait, puisqu’elle devait réfléchir, elle n’avait pas encore vaincu.
Quelle est la solution pour cette personne ? Que faire et comment pourra-t-elle considérer qu’elle aura vaincu ? Bien sûr que nous pouvons vous donner à tous la réponse : lorsque vous vous vaincrez à vous-même, quand vous vaincrez votre instinct de vengeance, votre complexe d’infériorité, quand vous aurez compris que vous n’avez pas besoin d’être plus, que vous pouvez être égal ?
Et puis la personne a continué :
– « Donnez-moi une preuve que cette histoire d’entraîner et d’étudier le mental est quelque chose de bon « .
– Regardez le témoignage ! Moi, J’entraîne le mental. Regardez mes manifestations : je suis toujours joyeux, heureux, j’aide les autres, je suis financièrement réalisé, j’ai tout ce que je veux de la matière et de l’esprit je continue à étudier…ça c’est une preuve. Si, dans aucun secteur, vous ne vous sentez bien, c’est le signe que vous n’utilisez pas bien votre esprit, votre mental. Si vous n’êtes plein dans aucun domaine… !
– Ah, mais c’est que quelques personnes ont de la chance ! Vous, par exemple, vous êtes bien marié ! Le conjoint favorise le bien-être de la personne ».
– Qui utilise le mental est heureux, non pas parce qu’il a quelqu’un à ses côtés qui favorise son bonheur. Ce n’est pas parce que j’ai une excellente compagne que je suis heureux. Au contraire : c’est parce que je suis heureux que j’ai une excellente compagne. Avec les amis, c’est la même chose !
Ces justifications : « Si ce n’était pas lui ou elle… » Non, c’est vous qui n’êtes pas bien. C’est parce que je suis heureux, que j’ai la chance que j’ai.
Les personnes veulent généralement placer le bonheur sur les points externes, c’est-à-dire, ils sont heureux en fonction du point externe. Il est nécessaire que vous, qui utilisez le mental, sachiez que ce ne sont pas les faits qui se produisent fatalement qui vous rendront heureux ou malheureux. C’est vous, qui, étant heureux ou malheureux, faites les faits autour de vous. Ce ne sont pas les faits qui vous rendront heureux ou malheureux. Au contraire, c’est vous qui, étant heureux ou malheureux, construirez des circonstances heureuses ou malheureuses.
Arrêtez-vous un instant sur ces petits points. Quand vous en comprendrez la nature philosophique, quand vous vous approfondirez, vous pourrez vous sentir beaucoup mieux et vous aurez de plus grandes satisfactions.
Et alors, en conversant avec des personnes dans ces termes, vous montrerez que ce n’est pas parce que vous avez eu de la chance que vous vous êtes réalisé dans la profession ou dans la vie, mais si, parce que vous faites de chaque partie de votre vie une chose pleine en soi. Et de cela, vous pouvez donner le témoignage.
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Le 11 Septembre 1981
Le 11 Septembre 1981
Hier, j’ai conversé avec des personnes de dehors au sujet du mental, des personnes encore prisonnières du matérialisme, qui n’arrivent pas à dépasser des points tels que : » Moi, je ne fais pas ça, parce que personne ne va me donner des ordres, personne ne va me dominer… » Elles n’arrivent toujours pas à surmonter le conflit.
– « Personne ne va plus s’en prendre à moi, je ne vais être le pion, le jouet de personne, maintenant elle ne va plus m’utiliser, je me suis libéré de son emprise… »
Je disais à la personne :
– Je pense que vous ne vous êtes pas libéré. Qui se libère vraiment du joug de quelqu’un, d’une société, de n’importe quoi, n’est pas aussi préoccupé à tenter de le vaincre, ainsi que vous l’êtes, puisque vous devez encore passer des heures et des heures à réfléchir à la façon de réagir.
La personne a convenu, qu’en fait, puisqu’elle devait réfléchir, elle n’avait pas encore vaincu.
Quelle est la solution pour cette personne ? Que faire et comment pourra-t-elle considérer qu’elle aura vaincu ? Bien sûr que nous pouvons vous donner à tous la réponse : lorsque vous vous vaincrez à vous-même, quand vous vaincrez votre instinct de vengeance, votre complexe d’infériorité, quand vous aurez compris que vous n’avez pas besoin d’être plus, que vous pouvez être égal ?
Et puis la personne a continué :
– « Donnez-moi une preuve que cette histoire d’entraîner et d’étudier le mental est quelque chose de bon « .
– Regardez le témoignage ! Moi, J’entraîne le mental. Regardez mes manifestations : je suis toujours joyeux, heureux, j’aide les autres, je suis financièrement réalisé, j’ai tout ce que je veux de la matière et de l’esprit je continue à étudier…ça c’est une preuve. Si, dans aucun secteur, vous ne vous sentez bien, c’est le signe que vous n’utilisez pas bien votre esprit, votre mental. Si vous n’êtes plein dans aucun domaine… !
– Ah, mais c’est que quelques personnes ont de la chance ! Vous, par exemple, vous êtes bien marié ! Le conjoint favorise le bien-être de la personne ».
– Qui utilise le mental est heureux, non pas parce qu’il a quelqu’un à ses côtés qui favorise son bonheur. Ce n’est pas parce que j’ai une excellente compagne que je suis heureux. Au contraire : c’est parce que je suis heureux que j’ai une excellente compagne. Avec les amis, c’est la même chose !
Ces justifications : « Si ce n’était pas lui ou elle… » Non, c’est vous qui n’êtes pas bien. C’est parce que je suis heureux, que j’ai la chance que j’ai.
Les personnes veulent généralement placer le bonheur sur les points externes, c’est-à-dire, ils sont heureux en fonction du point externe. Il est nécessaire que vous, qui utilisez le mental, sachiez que ce ne sont pas les faits qui se produisent fatalement qui vous rendront heureux ou malheureux. C’est vous, qui, étant heureux ou malheureux, faites les faits autour de vous. Ce ne sont pas les faits qui vous rendront heureux ou malheureux. Au contraire, c’est vous qui, étant heureux ou malheureux, construirez des circonstances heureuses ou malheureuses.
Arrêtez-vous un instant sur ces petits points. Quand vous en comprendrez la nature philosophique, quand vous vous approfondirez, vous pourrez vous sentir beaucoup mieux et vous aurez de plus grandes satisfactions.
Et alors, en conversant avec des personnes dans ces termes, vous montrerez que ce n’est pas parce que vous avez eu de la chance que vous vous êtes réalisé dans la profession ou dans la vie, mais si, parce que vous faites de chaque partie de votre vie une chose pleine en soi. Et de cela, vous pouvez donner le témoignage.
Dr. Celso Charuri
Idéalisateur et Fondateur de PRÓ-VIDA
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