Je continue d’observer vos attitudes. Félicitations, vous avez réussi ! L’Univers est heureux.  Un peu plus de Lumière.  Une étoile de plus qui pourra servir de guide aux voyageurs de l’infini. Sur la carte célestielle une nouvelle source de Vie est née. Si vous saviez combien applaudissent, l’irradiation de votre Lumière brillerait de Mille feux ! Merci. Félicitations !

Pourtant, je dois ajouter que la flamme d’une bougie se maintient tant que le combustible cire se laisse consumer. Je dois encore dire que le plus grand plaisir est acquis lorsque l’on est cire, celle qui maintient la Lumière. C’est le Créateur qui se réjouit en ses fulgurantes créatures.

En termes pratiques, j’explique que ce serait de l’égoïsme de votre part de vivre dans une société aussi heureuse, pleine de joie, sachant que vous êtes entourés d’êtres qui vivent dans l’obscurité.

Je vous suggère d’ouvrir vos portes, de démonter vos barrières, de démonter vos tentes pour que la Lumière puisse pénétrer dans les espaces obscurs de ceux qui vous entourent. Que cette Lumière appelle tous ceux de bonne volonté qui se trouvent déjà prêts et leur indique le Chemin. Laissez-les entrer. A ceux qui ne veulent pas venir, apportez la Lumière par l’intermédiaire de votre conduite.

Beaucoup souffrent, beaucoup sont opprimés. Pour ceux-là, nous utilisons la Loi de la Dîme. Cette Loi est juste et généreuse. Elle ordonne que vous qui avez travaillé, elle ordonne que vous qui avez une plus grande capacite cérébrale, démontriez cette capacité en demeurant avec 90% du fruit de votre bonheur et en donnant 10% – la dîme – du fruit de votre capacité à ceux qui n’ont pas de possibilités ou à ceux qui ont une moindre capacité, et pour cela souffrent encore.

Donnez 10% de votre joie. Donnez 10% de votre bonheur. Donnez 10% de votre amour. Donnez 10% de votre matière. Donnez 10% de vous. Et réservez 90% au maintien de l’état conquis, qui devra servir comme Exemple. Oui, j’ai dit Exemple, pour qu’un jour tous puissent Être.  Oui, j’ai dit Être, car la Dîme est le privilège d’Être dans les mains de qui donne.