Le travail en chiffres
Le travail en chiffres
Une vieille histoire raconte que dans une vieille ville médiévale, trois hommes travaillaient sur un chantier de construction, plaçant pierre sur pierre, lorsqu’un pèlerin s’approcha du premier d’entre eux et lui demanda ce qu’il faisait.
De mauvaise humeur, l’homme répondit : « Ne vois-tu pas que je casse et place ces pierres pour construire un mur ?
Le pèlerin se rendit chez le second et lui posa la même question, à laquelle il répondit : « Je construis une cathédrale ».
Le pèlerin atteint le troisième homme et répète sa question : « . Je construis un pont afin de rapprocher les gens à Dieu » fut la réponse.
Chaque 1er mai, la Centrale Générale de la Dîme, ses affiliées au Brésil et les Centrales de la Dîme d’Argentine, de Bolivie, du Chili et d’Italie présentent leurs bilans respectifs à tous les participants de PRÓ-VIDA qui assistent à l’assemblée annuelle.
Une infinité de numéros, de décimales, de quantités, de pourcentages, qui sont célébrés chaque année comme une véritable fête. Et beaucoup peuvent se demander comment on peut organiser une fête sur quelque chose d’aussi prosaïque qu’une série de bilans, et beaucoup d’autres se demandent comment ne pas célébrer le travail de tant d’hommes et de femmes, représentés par ces chiffres.
D’un côté, des personnes qui se donnent pour aider des centaines d’institutions qui abritent, valorisent, répondent à toutes sortes de besoins dans le monde ; de l’autre, des milliers d’amis unis par le même idéal : celui d’un monde plus juste, plus noble et plus généreux.
Des chiffres qui représentent également les briques, les abris et les aliments, la technologie, les voitures et les équipements. Des biens matériels qui peuvent construire des écoles, soulager des besoins ou développer des potentiels ; qui peuvent faire entrevoir un avenir aux personnes, qui peuvent nourrir l’espoir à partir de l’exemple, de la preuve que cette possibilité existe.
La possibilité d’un monde différent que le Dr Celso Charuri sait montrer à qui veut l’entendre, à travers ses enseignements et sa philosophie.
Et c’est lui qui a laissé ces dires : » Au commencement, l’homme est en lui-même. Ensuite, il sort de lui-même, va vers sa ville ; après sa ville, il s’intègre à son pays ; ensuite, il quitte son pays, va dans tous les autres pays ; ensuite, il sort de sa planète, va dans d’ autres planètes, et un jour, il a la vision Universelle, et un jour, il s’intègre cosmiquement … »
Travailler… grammaticalement c’est un verbe, c’est un mouvement. Mouvement dont on sait qu’il fait partie d’un rouage plus important.
Et, peut-être, lorsque ce pèlerin médiéval posera à nouveau la question, la notion de ce que nous construisons prendra une dimension différente.
42ème Assemblée des Centrales de la Dîme
En 2021, la CGD-PV ( la « Central Geral do Dízimo PRÓ-VIDA ») et ses affiliées au Brésil ainsi que les Centrales de la Dîme d’Argentine, de Bolivie, du Chili et d’Italie ont réalisé des donations qui ont bénéficié à 221 institutions dans plusieurs pays. Le bilan a été présenté lors de la 42e assemblée de la CGD-PV, qui s’est tenue le 1er mai 2022. Elle a eu lieu au siège de PRÓ-VIDA à São Paulo (Brésil) et a été diffusée dans d’autres sièges du monde entier, ayant été suivie par des milliers de personnes. Le bilan annuel est audité par l’un des meilleurs cabinets mondiaux du secteur, Ernst & Young.
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